Tendance du marché immobilier au Portugal

Avec un climat doux toute l’année, un somptueux littoral, une appartenance à l’Union Européenne et un coût de la vie 60 à 70 % moins cher qu’en Suisse, le Portugal est une destination privilégiée des pays Européens et de plus en plus des ressortissants Suisses, qu’ils décident seulement d’y investir ou de s’y installer.

Le Portugal attire également de nombreux touristes, chaque année plus nombreux !

Hormis les atouts « naturels », le marché immobilier du Portugal présente lui aussi de réelles opportunités.

Primo les mesures visant à rendre particulièrement attractif l’investissement étranger, particulièrement : l’exonération fiscale pour les Résidents Non Habituels (RNH), le régime des golden visas, les nouveaux régimes des baux urbains (libéralisation et assouplissement des règles : délais, ruptures de contrats plus faciles, l’augmentation des loyers…) et finalement une volonté politique visant à encourager la rénovation urbaine notamment à Lisbonne et Porto.

Tout comme en Suisse, le marché est doté d’une législation qui protège les acheteurs ( Registre Foncier, enregistrement cadastral, enregistrement des hypothèques, etc…).
De plus, la procédure d’acquisition d’un bien immobilier est assez simple et rapide: 4 semaines peuvent suffire entre la promesse et l’acte authentique.

Faut-il alors se lancer et  acheter une maison ou un appartement au Portugal ?

Même si le prix des biens immobiliers sont légèrement repartis à la hausse depuis 2013 sous l’effet de l’attrait croissant de l’investissement immobilier au Portugal (de 10 à 20% dans certaines zones ou quartiers très demandés), ils sont encore loin d’avoir atteint le haut de la courbe.
Les opportunités à saisir sont nombreuses et excellentes car le marché à manqué de liquidité bancaire entre 2008 et 2012.
Le risque de dévalorisation des biens à moyen et long terme est très faible, le Portugal ayant été épargné par la bulle spéculative immobilière (pas de surstock). Contrairement aux autres pays d’Europe, les prix n’ont pas subit l’inflation et le marché reste « sain », porté par l’offre et la demande réelle.